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ADEME

L’ADEME EN BREF À l’ADEME - l’Agence de la transition écologique -, nous sommes résolument engagés dans la lutte contre le réchauffement climatique et la dégradation des ressources.Sur tous les fronts, nous mobilisons les citoyens, les acteurs économiques et les territoires, leur donnons les moyens de progresser vers une société économe en ressources, plus sobre en carbone, plus juste et harmonieuse.Dans tous les domaines - énergie, économie circulaire, alimentation, mobilité, qualité de l’air, adaptation au changement climatique, sols… - nous conseillons, facilitons et aidons au financement de nombreux projets, de la recherche jusqu’au partage des solutions.À tous les niveaux, nous mettons nos capacités d’expertise et de prospective au service des politiques publiques. L’ADEME est un établissement public sous la tutelle du ministère de la Transition écologique et du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. La recherche et l’innovation au cœur des missions de l’ADEME  L’activité de soutien à la RDI de l’ADEME s’inscrit dans les objectifs des politiques publiques en faveur de l’énergie et de l’environnement et notamment ceux de la transition énergétique et écologique (TEE), l’ADEME participe à la mise en œuvre les stratégies nationales de recherche (SNR et SNRE) dans ses domaines de compétences en accompagnant la recherche, le développement et l’innovation en faveur de la transition énergétique et écologique et de la lutte contre le changement climatique. L’ADEME aide ainsi des projets de RDI en matière de gestion des déchets, de préservation des sols, d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables et de qualité de l’air.  Depuis l’encadrement des thèses jusqu’à l’export des innovations de PME françaises à l’international, l’ADEME accompagne les projets de RDI dans le cadre de 4 familles d’outils : Le financement d’une cinquantaine de thèses par an dans l’objectif de défricher des sujets précurseurs, la majorité de ces thèses sont cofinancées par des entreprises ou collectivités ou des organismes publics, Son programme de recherche et développement au travers d’appels à projets de recherche (APR) compétitifs qui vise majoritairement des projets collaboratifs impliquant au moins une entreprise, notamment quand les résultats attendus sont des solutions industrialisables avec une perspective de diffusion sur le marché. Ces projets portent sur des TRL 4 à 7, ou sur des recherches prénormatives. La participation aux guichets uniques éco-innovation de certaines Régions, qui ont pour objectif de soutenir des projets d’éco-innovation portés par des entreprises ou des groupements d’entreprises, Le Programme d’Investissements d’Avenir.  www.ademe.fr@ademe

ANR

L'Agence nationale de la recherche (ANR) est un établissement public à caractère administratif, placé sous la tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation. L'Agence met en œuvre le financement de la recherche sur projets, pour les opérateurs publics en coopération entre eux ou avec des entreprises.  L’ANR a été créée en 2005 pour promouvoir la recherche française sur projets, et pour stimuler l’innovation en favorisant l’émergence de projets collaboratifs pluridisciplinaires et en encourageant les collaborations « publics-privés ». Il s’agit également de renforcer le positionnement de la recherche française au niveau européen et mondial. Les missions de l’Agence, définies dans le décret du 1er août 2006 révisé le 24 mars 2014, sont :Financer et promouvoir le développement des recherches fondamentales et finalisées, l’innovation technique et le transfert de technologies ainsi que le partenariat entre le secteur public et le secteur privéMettre en œuvre la programmation arrêtée par le ministre chargé de la Recherche qui recueille l’avis des ministres exerçant la tutelle d’organismes de recherche ou d’établissements publics d’enseignement supérieurGérer de grands programmes d’investissement de l’État dans le champ de l’enseignement supérieur et de la recherche, et suivre leur mise en œuvreRenforcer les coopérations scientifiques aux plans européen et international, en articulant sa programmation avec les initiatives européennes et internationalesAnalyser l’évolution de l’offre de recherche et mesurer l’impact des financements alloués par l’Agence sur la production scientifique nationaleL’action de l’ANR vise ainsi à soutenir l’excellence de la recherche française à des degrés de maturité technologique variés, à soutenir la recherche fondamentale, à encourager les partenariats scientifiques académiques et « publics-privés », et à favoriser les coopérations européennes et internationales. Pour cela, elle propose des appels à projets compétitifs et met en œuvre des processus de sélection rigoureux basés sur l’évaluation par les pairs, qui respectent les principes internationaux en la matière : impartialité, équité de traitement, confidentialité, déontologie, intégrité scientifique, et transparence.  

ANRS-MIE

L’ANRS | Maladies infectieuses émergentes, créée le 1er janvier 2021, est une agence autonome de l’Inserm. Elle a pour missions l’animation, l’évaluation, la coordination et le financement de la recherche sur le VIH/sida, les hépatites virales, les infections sexuellement transmissibles, la tuberculose et les maladies infectieuses émergentes et ré-émergentes (notamment les infections respiratoires émergentes, dont la Covid-19, les fièvres hémorragiques virales, les arboviroses). L’agence couvre tous les domaines de la recherche : recherche fondamentale, clinique, en santé publique et en sciences de l’homme et de la société ; son organisation met l’accent sur l’innovation et le renforcement de partenariats internationaux.  Avec une approche One Health, s’intéressant à la santé humaine, animale et à l’impact de l’homme sur l’environnement, l’agence prépare la réponse aux enjeux scientifiques posés par les maladies émergentes et à son déploiement en temps de crise. L’ANRS | Maladies infectieuses émergentes est placée sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et du ministère des Solidarités et de la Santé. Elle est dirigée par le Pr Yazdan Yazdanapanah. L’agence fédère et anime plusieurs réseaux nationaux et internationaux de chercheurs et de médecins employés par les principaux organismes de recherche, universités, centres hospitaliers ou associations. Les associations de patients et les représentants de la société civile sont pleinement intégrés à sa gouvernance et à son fonctionnement. www.anrs.fr

Anses

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a été créée le 1er juillet 2010. L’Anses est un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle des ministères chargés de la Santé, de l'Agriculture, de l'Environnement, du Travail et de la Consommation.L’Anses assure des missions de veille, d’expertise, de recherche et de référence sur un large champ couvrant la santé humaine, la santé et le bien-être animal ainsi que la santé végétale. Elle offre une lecture transversale des questions sanitaires en évaluant les risques et les bénéfices sanitaires, souvent au prisme des sciences humaines et sociales. Ses missions de veille, de vigilance et de surveillance permettent de nourrir l'évaluation des risques. L'Agence évalue ainsi l’ensemble des risques (chimiques, biologiques, physiques...) auxquels un individu peut être exposé, volontairement ou non, à tous les âges et moments de sa vie, qu’il s’agisse d’expositions au travail, pendant ses transports, ses loisirs, ou via son alimentation.L’Anses assure par ailleurs l’évaluation de l’efficacité et des risques des médicaments vétérinaires, des produits phytopharmaceutiques, matières fertilisantes, supports de culture et de leurs adjuvants, ainsi que des biocides, afin de délivrer les autorisations de mise sur le marché. Elle réalise également l’évaluation des produits chimiques dans le cadre de la réglementation REACh.Plusieurs catégories d’acteurs peuvent saisir l'Anses :l’Etat,les parties prenantes représentées à son conseil d’administration,les syndicatsL’Agence peut par ailleurs s’autosaisir, lorsqu’elle le juge nécessaire.

INCa

Créé par la loi de santé publique du 9 août 2004, l'Institut national du cancer est l’agence d'expertise sanitaire et scientifique en cancérologie de l’État, chargée de coordonner les actions de lutte contre les cancers. Placé sous la tutelle du ministère des Solidarités et de la Santé et de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, l’Institut est constitué sous la forme d’un groupement d’intérêt public (GIP). Il rassemble en son sein l’État, les grandes associations de lutte contre les cancers, les caisses d’assurance maladie, les organismes de recherche et les fédérations hospitalières.Sa gouvernance s’appuie sur un conseil d’administration, un conseil scientifique international, un comité de déontologie et d’éthique et un comité de démocratie sanitaire intégrant les usagers du système de santé.Par sa vision intégrée de l’ensemble des dimensions sanitaire, médicale, scientifique, sociale, économique liées aux pathologies cancéreuses, l’Institut national du cancer met son action au service des personnes malades, de leurs proches, des usagers du système de santé, de la population générale, des professionnels de santé, des chercheurs et des décideurs dans les domaines de la prévention, des dépistages, des soins, et de la recherche.Plus spécifiquement, l’Institut produit une expertise pluridisciplinaire et partagée sur les questions relatives à la cancérologie : facteurs de risque, problématiques de démographie, radiothérapie, tests génétiques, évolution des organisations, impact des changements technologiques, accompagnement social… notamment grâce à l’analyse des données de santé.Il assure la définition et la diffusion des référentiels de bonnes pratiques et de prise en charge en cancérologie, ainsi que les critères d’agrément des établissements et des professionnels de santé en cancérologie.Il met en œuvre et finance des actions de recherche, sur la base d’appels à projets, pour favoriser l’émergence de l’innovation scientifique, technologique et organisationnelle.L’Institut produit une information de référence sur les cancers et la cancérologie pour nos concitoyens, les professionnels et les patients, et favorise son appropriation par les différents publics. Il développe par ailleurs des actions communes entre opérateurs publics et privés. Enfin, il participe à des programmes européens et internationaux afin de renforcer la présence de la recherche française dans ces actions.Son programme de travail s’inscrit dans les 4 axes de la stratégie décennale de lutte contre les cancers 2021 – 2030, dont il assure la mise en œuvre et le suivi en lien avec ses tutelles et l’ensemble des acteurs de la lutte contre les cancers. Dans ce cadre, il agit pour améliorer la prévention, limiter les séquelles et améliorer la qualité de vie, lutter contre les cancers de mauvais pronostic et s’assurer que les progrès bénéficient à tous.La mission de l’Institut est de faire baisser le nombre de cancers et d’en réduire l’impact dans notre société afin d’améliorer la santé de tous.

Inserm

L’Inserm réunit 15 000 chercheurs, ingénieurs, techniciens et personnels administratifs, avec un objectif commun : améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l’innovation dans les traitements et la recherche en santé publique. Améliorer la santé humaine Depuis sa création en 1964, l’Inserm a été l’acteur d’avancées médicales majeures : premiers tests de diagnostic prénatal, décryptage des mécanismes du système HLA, première fécondation in vitro, identification du virus du sida, radiothérapie contre le cancer, première greffe de peau, stimulation cérébrale profonde, thérapie génique… Cette mission s’appuie sur le travail de 9 instituts thématiques, dont le rôle est de réaliser l’état des lieux de la recherche dans leur domaine et d’animer cette recherche. Par ailleurs, les recherches sur le sida et les hépatites B et C sont conduites et financées par l’ANRS, agence autonome de l’Inserm.L’Institut se distingue par l’excellence scientifique de ses équipes, mais également par sa capacité à assurer une recherche translationnelle, du laboratoire de recherche au lit du patient.Aujourd’hui, l’Inserm est au 1er rang européen des institutions académiques de recherche dans le domaine biomédical, avec près de 12 000 publications par an, et au 2e rang mondial derrière les National Institutes of Health (NIH) intra-muros. L’Inserm est en outre le 9e organisme public de recherche les plus innovants au monde, selon le classement Thomson-Reuters 2016.Jouer un rôle majeur dans la coordination de la recherche en santé Depuis toujours, l’Inserm travaille en étroit partenariat avec l’Hôpital, l’Université et d’autres établissements publics. La plupart de ses structures de recherche sont mixtes, implantées au plus près des lieux de soin et d’enseignement. Ces partenariats sont un gage de succès, par la mutualisation des compétences, l’attractivité pour les talents et la proximité avec les patients.L’Inserm est l’un des membres fondateurs d’Aviesan, l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé, dont il assure la présidence. Coordination scientifique des thématiques de recherche, coordination opérationnelle des projets et des ressources : Aviesan favorise une meilleure réactivité et efficacité de la recherche française.Agir pour et avec la société Pionnier de l’éthiqueLes découvertes en santé et leurs applications suscitent de nombreuses questions relatives au respect du vivant et à l’éthique. L’Inserm a conduit à la création du Comité consultatif national d'éthique en 1983. Le Comité d’éthique de l’Inserm est quant à lui un acteur à part entière du dialogue entre la communauté scientifique et la société. Il apporte son soutien aux personnels de l’Institut, pour identifier et intégrer les questions d’éthique dès la conception de leurs projets.Expert en santéFace à l’évolution rapide des enjeux de santé publique, l’Inserm développe et produit depuis 1993 ses Expertises collectives. Impulsés sur saisine des pouvoirs publics ou auto-saisine, ces travaux offrent aux autorités publiques et aux élus une aide à la décision précieuse sur des problématiques sensibles : amiante, plomb, rythmes biologiques de l’enfant, handicaps...Avec et pour les maladesCréés en 2004, le Groupe de réflexion avec les associations de malades (Gram) et la mission Associations recherche & société coordonnent les programmes d’action entre l’Inserm et plus de 500 associations de malades, personnes handicapées et leur famille. Ce sont des lieux de dialogue, de réflexion et de proposition. Très actives, les associations jouent un rôle décisif dans la démocratie sanitaire et scientifique. Elles participent à l’organisation, voire au financement de la recherche.Pour en savoir plus sur l’Inserm et les associations de maladesLa diffusion des savoirsL’Inserm contribue à promouvoir les travaux et les résultats de ses chercheurs. Au niveau national ou local, il s’investit dans la culture scientifique et la diffusion des connaissances. Journées portes ouvertes dans les laboratoires, conférences, créations théâtrales et expositions : tout au long de l’année, l’Institut et ses chercheurs viennent à la rencontre des citoyens. Un musée virtuel, des ouvrages de vulgarisation, productions audiovisuelles ou encore le magazine d’actualités scientifiques Science&Santé sont autant d’outils qui assurent la diffusion d’une information de qualité vers tous les publics.Découvrir nos contenus d’information et nos événements de culture scientifique

Institut pour la Recherche en Santé Publique (IReSP)

L’Institut pour la Recherche en Santé Publique (IReSP) est un Groupement d’Intérêt Scientifique (GIS), qui compte aujourd’hui 12 Membres (1), réunis par la volonté de développer et promouvoir la recherche en santé publique.L’objectif général du GIS IReSP est de développer, structurer et promouvoir la recherche en santé publique, en articulation avec les différents acteurs qui interviennent sur cette thématique. Pour renforcer les interventions et politiques visant à l’amélioration de l’état de santé et de bien-être de la population, il tient compte des besoins de connaissances de ses membres et, plus largement, des divers acteurs concernés et de la société dans son ensemble.Ces missions sont réalisées en promouvant l’interdisciplinarité, la recherche interventionnelle en santé des populations, la recherche participative et la science ouverte.Sur le plan thématique, l’IReSP soutient actuellement la recherche :Addictions : Consommations de substances psychoactives licites et illicites et les comportements avec pouvoir addictifsAutonomie : Personnes âgées, personnes en situation de handicap à tous les âges de la vie, proches et professionnels Méthodologie des ESSais cliniques Innovants, Dispositifs, Outils et Recherches Exploitant les données de santé et biobanques (MESSIDORE)Services, interventions et politiques favorables à la santé (SIP) Antiepileptiques : Effets de l’exposition précoce aux médicament antiépileptiques et leurs conséquences sanitaires sur la descendance (de façon moins pérenne que les autres thématiques) (1)  DGS (Direction Générale de la Santé), Drees (Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques), CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique), CNAM (Caisse Nationale de l'Assurance Maladie), CNSA (Caisse Nationale de Solidarité pour l'Autonomie), Ined (Institut national d'études démographiques), INCa (Institut National de lutte contre le Cancer), Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médical), IRD (Institut de Recherche pour le Développement) MESR (Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche), Mildeca (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives) et Santé publique France

ARSEP

La Fondation ARSEP, reconnue d'utilité publique à but non lucratif, a deux missions principales : 1) promouvoir et financer la recherche sur la sclérose en plaques et les maladies apparentées ; sa stratégie scientifique cible la compréhension de ces maladies et le développement de nouvelles voies thérapeutiques. Dans cet objectif, elle fait appel à deux modes de financement adaptés visant des programmes de recherche ambitieux : d’une part, le financement annuel de projets scientifiques se rapportant à différents domaines de la recherche sur la SEP (génétique, imagerie, immunologie, neurobiologie, recherche clinique, épidémiologie, sciences humaines et sociales) ; d’autre part, le financement exceptionnel de projets de plus grande envergure (EMERGENCE). 2) diffuser l’information la plus récente, la plus pertinente et la plus riche possible, sur les avancées médicales, scientifiques et thérapeutiques auprès des personnes touchées par la SEP ou une maladie apparentée, les professionnels de la santé et de la recherche, les médias et les pouvoirs publics. La Fondation ARSEP est membre de 2 fédérations : une Française, la FRC (Fédération pour la recherche sur le cerveau) et une internationale, la MSIF (Multiple Sclerosis International Federation). Elle collabore également avec d'autres Fondations ou Associations qui partagent un objectif commun : faire avancer la recherche sur les maladies inflammatoires du système nerveux central. Par ailleurs, la Fondation ARSEP est membre de la filière nationale de santé maladies rares Brain Team, en raison de son implication dans la SEP de l’enfant et des maladies rares apparentées à la SEP que sont les NMOSD et les MOGAD.

Centre national de ressources et de résilience

Le Centre national de ressources et de résilience (Cn2r) est un groupement d’intérêt public créé en 2019 et constitué entre l’Etat (représenté par 6 ministères), le Centre national de la recherche scientifique, l’Ecole nationale de la magistrature et les deux établissements hospitaliers porteurs (le CHU de Lille et l’AP-HP de Paris). Le Cn2r a pour mission générale de contribuer à la résilience individuelle et/ou collective après la confrontation à un ou plusieurs évènements traumatiques et le développement éventuel de syndromes psychotraumatiques. Pour agir, le Cn2r s’adosse sur les savoirs expérientiels des personnes à l’épreuve du psychotraumatisme et mobilise plusieurs leviers :  le développement d’une expertise scientifique pluridisciplinaire sur le psychotraumatisme et la résilience, le renforcement desformations et la promotion des bonnes pratiques, ainsi que la diffusion des savoirs. Le Cn2r joue également un rôle d’animation du réseau des centres régionaux de psychotraumatisme en lien avec le réseau national de l’urgence médico-psychologique et les autres acteurs du soin médico-psychologique et de l’aide aux victimes.

CNRS

Le Centre national de la recherche scientifique est une institution de recherche parmi les plus importantes au monde. Pour relever les grands défis présents et à venir, ses scientifiques explorent le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Internationalement reconnu pour l’excellence de ses travaux scientifiques, le CNRS est une référence aussi bien dans l’univers de la recherche et développement que pour le grand public. La mission du CNRS se décline en cinq axes :1. Faire de la recherche scientifiqueLe CNRS mène « toutes les recherches présentant un intérêt pour l'avancement de la science ainsi que pour le progrès économique, social et culturel du pays ». Orientée vers le bien commun, cette approche de la recherche est multidisciplinaire, tournée vers le long terme et ouverte sur l’inconnu. 2. Valoriser les résultatsTechnologies, développement durable, questions de société, le CNRS entend faire bénéficier la société des avancées accomplies. Pour cela, de nombreux dispositifs de transfert et de valorisation sont mis en place, notamment avec les partenaires industriels.3. Partager les connaissancesLe CNRS donne accès aux travaux et aux données de la recherche car ils font partie d’un patrimoine commun. Ce partage du savoir vise différents publics : communauté scientifique, médias, grand public. 4. Former par la rechercheLa transmission des connaissances passe aussi par « la formation à et par la recherche », le CNRS accueillant chaque année dans ses laboratoires des centaines de futurs chercheurs, doctorants et post-doctorants.5. Contribuer à la politique scientifiqueLe CNRS participe à la stratégie nationale de recherche avec ses partenaires, notamment sur les grands sites universitaires français. Il réalise également des évaluations et des expertises sur des questions de nature scientifique.Pour mettre en place des actions transverses et interdisciplinaires avec les dix instituts scientifiques du CNRS, la Mission pour les Initiatives Transverses et Interdisciplinaires (MITI) promeut et coordonne des projets variés impliquant au moins deux disciplines. La MITI met en œuvre différents outils qui tiennent compte du contexte actuel de la recherche et de l’enseignement supérieur et qui ont pour but de favoriser le développement des nouvelles thématiques, de nouvelles collaborations, et de nouvelles interactions entre scientifiques.

Communauté de Communes Pays du Mont-Blanc

La Communauté de Communes Pays du Mont Blanc est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui a été créée le 1er janvier 2013. Elle regroupe 10 communes (Combloux, Les Contamines-Montjoie, Cordon, Demi-Quartier, Domancy, Megève, Passy, Praz-sur-Arly, Saint-Gervais-les-Bains, Sallanches) qui s’étagent de 515 m à 4 810 m d’altitude pour une population permanente de 43 907 habitants (INSEE 2019). Le territoire est situé dans la Vallée de l’Arve au pied du Mont-Blanc en Haute-Savoie. Il est traversé par l’A40, qui représente un axe de transit important pour le transport de marchandises vers l’Italie via le tunnel du Mont-Blanc.Parmi les 10 communes, 8 sont des stations touristiques de sports d’hiver. Le caractère touristique du territoire représente également une cause importante des déplacements, qui se cantonnent à des zones restreintes durant des périodes courtes (week-end et vacances).La Communauté de Communes met en commun des moyens à l’échelle intercommunale pour conduire des projets de développement et d’aménagement du territoire et pour gérer des services et équipements publics locaux. Elle est engagée depuis 2017 dans l’élaboration d’un Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) pour la période 2019-2024 et a été labelisée CAP Cit’ergie en 2019. La CCPMB fait également partie du Plan de Protection de l’Atmosphère PPA de la Vallée de l’Arve dont le deuxième plan couvre la période 2019-2024.

Défenseur des droits

Le Défenseur des droits est une autorité administrative indépendante, créée en 2011 et inscrite dans la Constitution. Son champ de compétence s’étend à la défense des droits des usagers des services publics, la défense et la promotion des droits de l’enfant, la lutte contre les discriminations, le respect de la déontologie des professionnels de la sécurité et l’orientation et la protection des lanceurs d’alerte. Elle s'est vu confier deux missions : défendre les personnes dont les droits ne sont pas respectés et mener des actions de promotion de l'égalité et de l'accès aux droits. A ce titre, le Défenseur des droits conduit et coordonne des travaux d'études et de recherches.

Ecophyto II+ Recherche & Innovation

L’axe Recherche et Innovation (axe R&I ou axe 2) intitulé « Améliorer les connaissances et les outils pour demain et encourager la recherche et l’innovation » s’inscrit dans les objectifs de réduction de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques et des risques associés du plan Ecophyto II+.Il est copiloté par : Le Commissariat Général au Développement Durable(CGDD) du Ministère de la Transition Écologique et de Cohésion des territoires (MTECT) , la Direction Générale à l’Enseignement et de la Recherche (DGER) du Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire (MASA), la Direction Générale de la Santé (DGS) du Ministère de la Santé et de la prévention (MSP), la Direction Générale de la Recherche -Innovation (DGRI) /Ministère de l‘Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR). avec l’appui financier de l’Office Français de la Biodiversité (OFB), sur l’enveloppe de redevance pour pollutions diffuses.L’axe R&I mobilise et oriente l’ensemble du système de recherche-innovation avec de fortes incitations pour la formation et la vulgarisation scientifique, afin d’apporter les connaissances nécessaires pour répondre aux défis posés par la réduction de l’usage des produits phytopharmaceutiques et de leurs impacts, sur la santé et l’environnement. Pour définir, piloter et mettre en œuvre l’ensemble de ces actions, il s’appuie sur un Comité Scientifique d’Orientation « Recherche et Innovation » (CSO R&I), composé d’une trentaine d’experts de différentes disciplines, nommés intuitu personae et reconnus pour leurs travaux ou leurs engagements sur tous les aspects relatifs à la protection des cultures et à la réduction des produits phytopharmaceutiques, ainsi que de leurs risques et impacts sur la santé et l’environnement. Son ambition est de poursuivre le décloisonnement disciplinaire afin de porter une vision globale des enjeux et des solutions pour atteindre les objectifs du plan Ecophyto II+.

FC3R

Le FC3R (Centre français pour les 3R) a été créé en 2021 à la demande du ministère de lʼEnseignement supérieur et de la Recherche, pour répondre aux attentes sociétales et au renforcement des exigences européennes sur l’utilisation des animaux en recherche. Les membres fondateurs de ce Groupement d’intérêt scientifique (GIS) sont des opérateurs majeurs du paysage de la recherche française : Inserm, CNRS, INRAE, Inria, CEA, Institut Pasteur de Paris, France Universités et Udice.  Le FC3R a l’ambition d’être reconnu en France et en Europe comme référence et point de contact pour toutes les questions relatives au « principe des 3R » - remplacer, réduire et raffiner -, dans la recherche publique comme privée. Il aspire à potentialiser l’implémentation des 3R en France au travers de l’éducation, de la valorisation d’une recherche responsable et innovante, et d’une communication transparente.  L’approche du FC3R se veut proactive et bienveillante, engageant des actions concrètes pour fédérer et développer une communauté synergique, valoriser les initiatives positives qui en émanent, et donner de la visibilité et de l’impact à ces efforts, au sein de la communauté scientifique, mais également auprès du grand public. L’action du FC3R s’articule ainsi autour de 5 grandes missions :  Financer les projets à fort impact pour les 3R. Le FC3R lancera plusieurs appels à projets (AAP) par an.Développer et diffuser l’offre de formation relative à l’application des 3R. Le FC3R se propose de faire connaître toutes les offres de formation aux 3R existantes en les référençant de façon exhaustive sur son site internet : Se former aux 3R. Il souhaite également promouvoir l’émergence de formations en collaborant avec des partenaires privés ou publics, pour la création de formations dans les domaines de carence identifiés.Accompagner les projets de recherche par une offre d’ingénierie dans le strict respect du principe des 3R : Ingénierie de projets.Inciter au dépôt de données non publiées et de résultats négatifs sur le site du FC3R, pour mieux disséminer les connaissances obtenues mais non publiées par les auteurs.Assurer une communication transparente sur le principe des 3R et son application à des fins scientifiques, réglementaires et pédagogiques. Le FC3R dispose pour cela d’une site internet fc3r.com et de comptes sur Twitter et LinkedIn, où il diffuse à sa communauté toutes les informations pertinentes concernant la bonne application du principe des 3R et sur ses activités propres.  Pour mener à bien ces différentes missions, le FC3R dispose d’une structure opérationnelle (Direction) actuellement composée de cinq personnes (directeur, responsable de la communication, responsable de la formation, responsable des appels à projets, responsable de l’ingénierie de projets) et localisée à l’École nationale vétérinaire de Maisons-Alfort, ainsi que d’un comité de pilotage, d’un comité scientifique et d’un conseil d’orientation et de réflexion :  la gouvernance du FC3R.

Federal Agency for Disruptive Innovation (SPRIND)

L'Agence fédérale pour l'innovation disruptive (SPRIND) a été créée fin 2019. Elle se concentre sur les innovations disruptives et tente donc d'identifier, de financer et de développer des technologies et des idées en phase de démarrage ayant un impact socio-économique prometteur à grande échelle. Elle recherche des projets par le biais d'un appel à soumission ascendant permanent qui permet de soumettre des propositions dans n'importe quel domaine technologique et de n'importe quel type de demandeur (par exemple, inventeurs individuels, start-ups, entreprises, organismes de recherche). Le niveau normal de maturité technologique recherché par l'agence se situe entre 3 et 7. De plus amples informations sur la manière de soumettre un projet sont disponibles à l'adresse suivante : https://www.sprind.org/en/your-project/ L'autre mécanisme pour les projets est de haut en bas, par le biais de ce que l'on appelle les défis SPRIND. Il s'agit de concours d'innovation dans le cadre desquels l'agence lance un appel à propositions pour résoudre un problème particulier ou un défi sociétal. Les appels sont limités dans le temps et sont publiés sur le site web de SPRIND et promus via les médias sociaux. Les concours sont ouverts aux équipes internationales d'Europe et d'ailleurs et financent jusqu'à 100 % des frais de personnel et des dépenses liées à la recherche. De plus amples informations sur le programme de défis sont disponibles à l'adresse suivante : https://www.sprind.org/en/challenges/

FIRAH

Créée en 2009, reconnue fondation d'utilité publique en 2011, la FIRAH est entièrement dédiée à la recherche appliquée sur le handicap. Elle est présidée par Patrick Gohet. L’objectif général de la Fondation est de mettre les résultats de la recherche appliquée au service des acteurs de terrain, pour améliorer la qualité de vie et la participation sociale des personnes handicapées. Par acteurs de terrain, nous entendons les personnes handicapées, leur entourage, les professionnels qui les accompagnent, les associations… La Fondation entend répondre à un vide constaté entre le monde de la recherche et celui du terrain. En œuvrant au développement d’une recherche répondant aux besoins identifiés par les acteurs terrain, en soutenant des recherches appliquées collaboratives et innovantes, et en veillant à une diffusion des résultats qui permet une réelle appropriation de ces derniers par les acteurs concernés, la FIRAH favorise le rapprochement et les échanges entre ces deux mondes. Aujourd’hui, la Fondation développe ses activités autour de trois pôles : Financer des projets de recherche appliquée dans le cadre défini par ses appels à projets annuels ; Dynamiser le transfert des connaissances issues de la recherche auprès des acteurs de terrain ; Opérer sur le terrain un soutien au transfert d’innovations sociales.

FNSO

Le Fonds national pour la science ouverte constitue l’instrument financier du Plan national pour la science ouverte. Il a pour vocation de soutenir financièrement des projets et des initiatives concourant au développement de la science ouverte, afin de construire un écosystème dans lequel la science est plus cumulative, plus fortement étayée par des données, plus transparente, plus rapide et d’accès universel. Il est alimenté par des dotations ministérielles et par des contributions volontaires en provenance des établissements d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation. Il peut recevoir également des contributions d’associations, de fondations et de mécènes.

Fondation de France

Chaque jour, et depuis plus de 50 ans, la Fondation de France accompagne et transforme les envies d’agir en actions d’intérêt général efficaces. Premier réseau de philanthropie en France, la Fondation de France réunit donateurs, fondateurs, bénévoles et porteurs de projet sur tous les territoires. Sa valeur ajoutée : aider chacun à agir le plus efficacement possible dans les domaines d’intérêt général qui lui tiennent à cœur. Avec l’ambition de construire des solutions utiles, concrètes et durables qui font avancer la société.

Fondation Maison des Sciences de l'Homme

Créée en 1963, la Fondation Maison des Sciences de l'Homme fait progresser la recherche en sciences humaines et sociales pour approfondir notre compréhension des mondes passés, présents et futurs, et répondre aux défis communs de l'humanité. Fondation reconnue d'utilité publique, elle développe des programmes et services au bénéfice de toutes les communautés scientifiques pour accélérer la création et le partage des connaissances.

Fondation pour la Recherche Médicale

En adoptant une démarche pluridisciplinaire, la FRM encourage, sélectionne et finance des projets de recherche prometteurs sur toutes les maladies : cancers, maladies cardiovasculaires, maladies neurologiques et psychiatriques, maladies infectieuses, etc. Convaincue de l’importance de la recherche fondamentale, terreau de toute innovation médicale, la FRM accompagne des projets d’excellence, avec pour objectif d’accroître les connaissances et le savoir nécessaires dans le développement de concepts innovants à l’origine d’avancées majeures, au bénéfice de notre santé.

Fondation pour la Recherche sur l'Endometriose (FRE)

La Fondation Recherche Endométriose (FRE), créée en 2021 avec l’association ENDOmind et sous l’égide de la Fondation pour la Recherche Médicale, a pour mission d’accélérer la recherche sur l’endométriose. Dans le cadre de cette mission, un des objectifs majeurs de la fondation est de soutenir financièrement des projets de recherche fondamentale et clinique portés par des équipes françaises de recherche publique.

Fondation Pour l'Audition

Reconnue d'utilité publique depuis 2015, la Fondation Pour l'Audition œuvre au quotidien pour faire avancer la cause de l'audition et des surdités. Notre démarche vise à soutenir la recherche scientifique et médicale, éveiller les consciences, briser les tabous et changer le regard porté sur les sourds, les malentendants et leurs proches.

Fondation Santé Environnement de la Mutuelle Familiale

La Fondation Santé Environnement est la première fondation mutualiste consacrée aux risques santé des polluants environnementaux. Fondée en 2016 par La Mutuelle Familiale, sous égide de la Fondation de l'Avenir, la Fondation Santé Environnement a pour objectif : Soutenir la recherche médicale appliquée en santé environnementaleSensibiliser l'ensemble des acteurs aux enjeux de la santé environnementale, notamment via des projets et études Diffuser l'information à tous les personnels scientifiques, médicaux, paramédicaux et sociaux intéressés, ainsi qu'aux familles.La Mutuelle Familiale a à coeur de soutenir des programmes de recherche visant à mieux comprendre les déterminants environnementaux des pathologies

France Parkinson

France Parkinson est une association à but non lucratif et est reconnue d’utilité publique depuis 1988. L’association concentre son engagement sur l’amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de la maladie et sur la sensibilisation de la société à cette maladie neurologique. Son objectif principal est d’apporter un soutien essentiel aux personnes malades et à leurs proches. France Parkinson favorise l’accès à des soins et à des traitements adaptés. Elle finance également la recherche afin de mieux comprendre cette maladie complexe. De plus, l’association s’engage à former les professionnels de santé et du soin pour garantir une prise en charge de qualité.

France Stratégie

Institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue, par ses analyses et ses propositions, à l’action publique et éclaire le débat. Elle réalise des études originales sur les grandes évolutions économiques et sociales, et les enjeux de soutenabilité. Elle produit également des évaluations de politiques publiques. Les résultats de ses travaux s'adressent aux pouvoirs publics et aux citoyens.En outre, France Stratégie coordonne les moyens d’un réseau d’organismes qui comprend le Conseil d’analyse économique (CAE), le Conseil d’orientation des retraites (COR), les Hauts Conseils de l’avenir de l’assurance maladie, du financement de la protection sociale, de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCAAM, HCFi-PS et HCFEA), le Haut Conseil pour le climat (HCC) et le CEPII.

FRB

La Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB) est une plateforme entre les différents acteurs scientifiques et les acteurs de la société sur la biodiversité. Elle soutient et agit avec la recherche pour accroître et transférer les connaissances sur la biodiversité.   La FRB collecte des fonds auprès de partenaires publics et privés pour soutenir des projets d’excellence scientifique, développés au sein de programmes. Parmi ces programmes : -        Le centre de synthèse et d’analyse sur la biodiversité (Cesab) invite à une nouvelle façon de faire de la recherche en exploitant mieux les informations et les données existantes. -        Le programme Scénario #2 vise à ancrer la construction de scénarios de transitions dans les territoires et s’appuie pour cela sur les mises en arts, les cartes cognitives et la modélisation. -        Le programme « Impacts sur la biodiversité terrestre dans l’anthropocène » focalise sur la connaissance des pressions anthropiques et leurs impacts sur la biodiversité terrestre, il est réalisé dans le cadre du programme national de « surveillance de la biodiversité terrestre », avec le ministère chargé de l’Écologies et l’OFB. -        Le programme dédié à l’évaluation de l’impact des énergies renouvelables sur la biodiversité a pour objectif d’identifier des recommandations opérationnelles pour de meilleures pratiques à destination des acteurs de la filière. Il est conduit en partenariat avec Mirova Foundation.   Interlocutrice des pouvoirs publics, des entreprises et de la société civile, la FRB mobilise l’expertise scientifique, développe des méthodes d’analyse et d’aide à la décision ainsi que des recommandations. Parmi ces recommandations, méthodes et outils : -        Les analyses et recommandations relatives aux politiques publiques, plans et stratégies, notamment relatifs aux liens entre la biodiversité et les enjeux sociétaux, comme le climat, la santé, l’alimentation. -        Les synthèses de connaissances scientifiques pour répondre à une question structurée en collectant le maximum de données ou résultats scientifique, en réalisant une évaluation critique puis une synthèse narrative des connaissances disponibles. -        Les évaluations scientifiques d’indicateurs de biodiversité ou d’évaluation d’impact sur la biodiversité afin d’en comprendre les avantages et les limites.   La FRB collabore également avec de nombreuses instances internationales comme la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (Ipbes), la Convention sur la diversité biologique (CDB), etc. et est ainsi associée aux grandes réflexions et négociations internationales sur l’avenir environnemental. Parmi ces implications : -        L’accueil du secrétariat scientifique du comité français de l’Ipbes pour : promouvoir la mobilisation des experts français ; appuyer les représentants français lors des plénières ; relayer les travaux de l’Ipbes au niveau national. -        Le rôle de co-point focal pour l’organe scientifique et technique de la CDB, aux côtés du MNHN, pour : mobiliser l’expertise française ; participer à la délégation française lors des travaux et conférences des parties (CoP). -        La coordination et le secrétariat de Biodiversa+, réseau européen de programmation et de financement de la recherche sur la biodiversité regroupant 74 programmeurs, bailleurs de fonds de recherche et acteurs de la politique environnementale de 37 pays différents. -        L’appui au programme interministériel de formation des agents de la fonction publique pour : faciliter la transmission des concepts, des messages clés et des solutions pour comprendre les enjeux et participer à la lutte contre l’érosion du vivant ; apporter une contribution à l’organisation des formations.   La FRB a été créée en 2008, à la suite du Grenelle de l’environnement, à l’initiative des ministères chargés de la recherche et de l’écologie, par huit établissements publics de recherche. Ceux-ci ont depuis été rejoints par LVMH, l’Ineris, l’université de Montpellier et l’OFB, ce qui porte à 11 le nombre de membres fondateurs. La FRB est une fondation de coopération scientifique de droit privé. Elle exerce ses activités en toute indépendance. La gouvernance de la FRB, avec un conseil scientifique et une assemblée des parties prenantes, est interdisciplinaire et multi-acteurs.

Health Data Hub

Prévu par la loi du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et la transformation du système de santé, le Health Data Hub est une structure publique dont l’objectif est de permettre aux porteurs de projet d’accéder facilement à des données non nominatives hébergées sur une plateforme sécurisée, dans le respect de la réglementation et des droits des citoyens. Ils pourront y croiser les données et les analyser dans le but d’améliorer la qualité des soins et l’accompagnement des patients.

Institut des études et de la recherche sur le droit et la justice

L'Institut des études et de la recherche sur le droit et la justice a pour objet la promotion d’une réflexion originale et prospective, le développement de la recherche et son soutien, ainsi que la mobilisation et la diffusion des connaissances sur les normes, la régulation juridique, les missions et le fonctionnement de la justice, dans tous les champs disciplinaires pertinents. Pour en savoir plus Cf. les missions : https://gip-ierdj.fr/fr/decouvrir/les-missions/Ce Groupement d’intérêt public est né en 2022 du rapprochement de deux entités riches d’une longue expérience de plusieurs décennies : l’Institut des hautes études sur la justice d’une part et la Mission de recherche Droit et Justice d’autre part, dont il réalise la fusion, poursuit mais aussi prolonge les missions.

Institut d'études avancées de Nantes

Depuis 2008, L’Institut d’Etudes Avancées de Nantes (IEA, fondation reconnue d’utilité publique agréée par l’État) accueille chaque année universitaire une vingtaine de chercheurs du monde entier pour une résidence de recherche d’une durée de trois à neuf mois. Inspiré des modèles de Princeton (1930) et de Berlin (1980), l’Institut porte une politique scientifique unique en son genre, offrant un cadre propice à l’émulation intellectuelle. Sa volonté de « penser et habiter le monde autrement » se traduit par une liberté de penser et de se confronter à la diversité : dialoguer entre les cultures des Nords et des Suds, entre les disciplines, entre les milieux professionnels en prise avec les milieux de vie.

Institut Français de Finlande

Créé en 1968, l’Institut français de Finlande offre au public finlandais une médiathèque et un centre de langue au centre-ville de Helsinki, ainsi que des activités et événements de grande qualité mis en place en partenariat avec les grands acteurs culturels, scientifiques et éducatifs finlandais. Les missions de l’Institut sont d’initier, accompagner, favoriser, animer, soutenir, mettre en valeur les échanges entre la France et la Finlande dans les principaux domaines de coopération : langue française, sciences, enseignement supérieur, culture et offre artistique. En ce qui concerne son secteur scientifique et universitaire, l’IFF a pour mission de soutenir les coopérations dans les domaines de la recherche, de l’innovation et de l’enseignement supérieur français. Le service scientifique soutient ainsi chaque année des missions de chercheurs en France et en Finlande, la mise en place d’ateliers scientifiques mais aussi l’organisation de conférences et débats d’idées avec des spécialistes français. Il est donc l’interlocuteur privilégié de tous les partenaires français et finlandais intéressés pour initier ou renforcer leurs coopérations dans ces domaines. A ce titre, l’Institut français s’est associé à la Fondation Nokia dans l’objectif de mettre en place un programme annuel de mobilité scientifique de haut niveau dans le domaine des Technologies de l’Information et de la Communication, la Chaire d’excellence France Nokia en TIC qui fait l’objet de l’appel à candidatures. Créée à l'initiative de Nokia Oyj en août 1995, la Fondation Nokia encourage et soutient le développement scientifique et l'éducation dans les secteurs des technologies de l'information et des télécommunications en Finlande. La recherche multidisciplinaire dans ces domaines, ainsi que les approches d'autres domaines scientifiques, tels que les sciences sociales, comportementales, commerciales et des services, sont également très appréciées. Pour l'aider à accomplir sa mission, la Fondation offre des subventions et des bourses annuelles aux candidats les plus qualifiés. Les décisions sont prises par les membres du conseil d'administration de la Fondation, qui comprend des représentants des universités finlandaises et de Nokia. La Fondation Nokia est une fondation indépendante conformément à la loi sur les fondations en Finlande du 1.12.2015.

Institut français du Monde associatif

L’Institut français du Monde associatif a été créé en janvier 2019, à l’initiative de Simone André. D’abord créé sous l’égide de la Fondation pour l’Université de Lyon (FPUL), reconnue d’utilité publique, il s’est transformé en association d’intérêt général après deux années d’incubation. Basé à Lyon, il déploie une ambition nationale et européenne, et à terme internationale.   L’initiative part du constat du poids considérable des associations dans la société française : 1,5 millions d’associations, 1,85 millions de salariés, 22 millions de bénévoles, un budget de 113 Milliards d’euros. La crise COVID-19 l’a révélé au grand jour, les associations prennent en charge des pans entiers de l’intérêt général, aux côtés et en complémentarité des pouvoirs publics. Elles montrent leur capacité à accompagner les grandes mutations sociétales en cours, qu’il s’agisse, entre autres, de cohésion sociale et territoriale, de culture et d’éducation, de solidarité avec les personnes vulnérables, de développement durable ou d’économie collaborative. Par leurs processus décisionnels participatifs et par leur apport collectif à la société en tant que corps intermédiaires, elles contribuent activement à la vitalité démocratique.   Un ensemble de chercheurs pionniers dans les universités ont été les infatigables animateurs de l’œuvre de connaissance, statistique et qualitative, du monde associatif. Leur œuvre doit aujourd’hui être poursuivie, comme le préconise le rapport Pour une politique de vie associative ambitieuse et le développement d’une société de l’engagement du Mouvement associatif (avril 2018). Les travaux liés à la connaissance du fait associatif ou encore des évolutions associatives et les analyses comparatives aux plans européen et international restent limités. La mobilisation du milieu universitaire peut être développée sur ces sujets. Les moyens et méthodes d’exploitation des « données ouvertes » doivent encore être structurés.   Mission Sur la base de ce constat, l’Institut a été créé avec pour ambition d’enrichir la connaissance du monde associatif et il s’appuie pour cela sur trois piliers : Sa raison d’être est de valoriser la contribution associative à la société et à la démocratie, pour que le monde associatif soit reconnu pour ce qu’il est et ce qu’il fait.Son utilité sociale est d’éclairer et d’outiller le monde associatif et ses partenaires sur de grands enjeux conditionnant son développement et pour lesquels la connaissance est aujourd’hui manquante.Son savoir-faire est de rapprocher acteurs et chercheurs au bénéfice de la connaissance du monde associatif, en qualifiant les besoins du secteur, en mobilisant et facilitant la recherche sur l’objet associatif, et en engageant les associations dans des démarches de connaissance.

Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord

Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord Unité d'Appui et de Recherche (UAR 3258) soutenue par le CNRS, les universités Paris 8 et Sorbonne Paris Nord.

Ministère de l’économie des finances et de la souveraineté industrielle et numérique

Le ministère de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique prépare et met en œuvre la politique du Gouvernement dans un grand nombre de domaines : en matière économique, financière, de concurrence, de consommation et de répression des fraudes, d'économie responsable ainsi qu'en matière d'industrie, de numérique, d'espace, de services, de petites et moyennes entreprises (PME), d'artisanat, de commerce, de postes et communications électroniques, d'expertise comptable et de tourisme.

MSA

La Mutualité sociale agricole (MSA) valorise les principes de solidarité et de cohésion sociale du monde rural, ce qui lui permet de relever de nouveaux défis dans l’optique de la « MSA 2025 », le projet stratégique d’ensemble au service des ressortissants et des territoires dans leur diversité, qui comprend plusieurs objectifs : - développer les services pour les populations agricoles, les territoires ruraux et les partenaires ; - défendre une relation de service humaine, performante et proactive ; - dynamiser et valoriser le rôle des élus pour mieux promouvoir le modèle du régime agricole ; - gagner en performance pour développer de nouvelles activités ; - associer les collaborateurs à la mise en œuvre des orientations. En contribution à ces objectifs, la MSA a mis en œuvre un projet scientifique visant à innover dans l’accompagnement en santé et en protection sociale et à répondre aux nouveaux enjeux des territoires ruraux.

Région Auvergne-Rhône-Alpes

La Région Auvergne-Rhône-Alpes est une région administrative française de métropole regroupant 12 départements et comptant plus de 8 millions d'habitants. Seconde région économique française, elle est en charge de la coordination sur son territoire de toutes les actions en faveur de l'économie. Dotée d'un Schéma Régional Enseignement Supérieur, Recherche et Innovation, elle poursuit notamment l'ambition de rapprocher la recherche du monde de l'entreprise.

Région Pays de la Loire

Composée de près de 4 millions d’habitants, huitième région de France en termes de population et troisième région de France par son dynamisme démographique, la région des Pays de la Loire regroupe les départements de la Loire-Atlantique, de Maine-et-Loire, de la Mayenne, de la Sarthe et de la Vendée. Elle s'étend sur 32 082 km2.Elle est pleinement engagée pour le développement de la recherche et de l’enseignement supérieur, vecteurs de compétitivité et d’attractivité du territoire, et se place aux côtés des acteurs académiques ligériens qui préparent les compétences et les emplois de demain. Il s’agit de faire de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, le socle de l’économie de la connaissance en Pays de la LoireLa politique de soutien à l’Enseignement Supérieur, la Recherche et l’Innovation de la Région des Pays de la Loire découle d’une stratégie renouvelée, votée en décembre 2020. Elle se décompose en 3 ambitions :INVESTIR DANS UN PLAN CAMPUS RÉGIONAL pour doter les territoires de notre région de campus attractifs, ouverts sur la société, connectés avec le monde.ACCOMPAGNER LES TRAJECTOIRES DES LIGÉRIENS pour révéler les talents et faire rayonner le territoire régionalMOBILISER LE POTENTIEL ACADÉMIQUE pour anticiper et réussir les transitions économiques et sociétalesLa première ambition de la nouvelle stratégie ESRI a pour objectif de consolider le socle « commun/collectif » des capacités d’études et de travail du monde académique en termes de bâtiments, d’équipements (numériques et de pointe) et de l’adapter aux standards internationaux, sur les différents territoires régionaux.Elle est dédiée aux infrastructures, immobilières, numériques, scientifiques et capacités des campus, dans le but de les rendre attractifs, ouverts sur la société et le monde. Dans ce cadre, la Région déploie notamment en complémentarité avec le Contrat de Plan Etat-Région (CPER) et les fonds européens (FEDER), le dispositif ‘Infrastructures de Recherche’.La deuxième ambition accompagne les trajectoires des ligériens et de leurs établissements pour révéler les talents et faire rayonner le territoire régional. La Région a soutenu les dynamiques de progrès des acteurs ligériens en apportant la plus forte contribution financière par habitant du pays, comparativement aux autres régions, avec près de 6 % de son budget alloué à la recherche et à la technologie. Cet effort considérable doit permettre de susciter et d’accompagner des ambitions légitimes et fortes tant au niveau des talents individuels (jeunes, étudiants, chercheurs, entrepreneurs, …) que du collectif des acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche vers des trajectoires réaffirmées de réussite dans des dimensions tout à la fois nationales et européennes.Les actions se décomposent en deux volets complémentaires conjuguant la promotion de trajectoires individuelles incarnées par une politique des talents portée par 4 dispositifs d’attractivité (Allocations doctorales cofinancées, PULSAR, Etoiles Montantes, Connect Talent) et collectives notamment illustrées par les dispositifs ‘Trajectoires’.La troisième ambition a pour objectif mobiliser les chercheurs pour anticiper et réussir les transitions économiques et sociétales. Il s’agit notamment de promouvoir le développement de collaborations public-privé.  Des dispositifs sont déployés pour accompagner cet objectif, à chaque étape, depuis les démarches de réseau d’innovateurs, jusqu’au développement de démonstrateurs pré-industriels en passant par le soutien aux projets collaboratifs de ressourcement scientifique et à la structuration pérenne de chaires d’application. Elle couvre également l’accompagnement du dialogue entre la Science et la société, à travers le soutien à la Culture scientifique, technique et industrielle et l’accompagnement des initiatives collectives de valorisation des connaissances au bénéfice de la société.