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Consultez les appels à projets et à candidatures en cours et à venir des partenaires du portail.

Nouveaux appels

Rech-MIE 2023-2

ANRS-MIE

  Ouverture de l’appel à projets de recherche clinique hospitaliers dans le domaine des maladies infectieuses émergentes et réémergentes (ReCH-MIE) 2023-2 L’appel à projets ReCH-MIE 2023-2 est lancé par la direction générale de l’offre de soins (DGOS) du ministère de la Santé et de la Prévention (MSP). L’ANRS | Maladies infectieuses en assure le pilotage scientifique. Pour la campagne 2023-2, le montant total disponible est de 10 millions d’euros. Cet appel à projets vise à développer des recherches dans le domaine des maladies infectieuses émergentes ou ré-émergentes dont les objectifs sont : la mesure de l'efficacité des technologies de santé (dans cet objectif, les recherches prioritairement financées sont celles qui contribueront à l'obtention de recommandations de fort grade ; c’est-à-dire fondées sur un haut niveau de preuve scientifique) ; l'évaluation de la sécurité, de la tolérance ou de la faisabilité de l'utilisation des technologies de santé chez l'homme (par exemple, toutes les études sur le médicament de la phase I à la phase IV). Liste des pathogènes : https://anrs.fr/wp-content/uploads/2023/02/liste-des-pathogenes-prioritaires.pdf Calendrier : La sélection des projets se déroulera en deux étapes : - 1ère étape : dépôt des lettres d’intention sur la plateforme Apogée jusqu'au 5 octobre 2023 à 23h55 ; - 2nde étape : soumission d’un dossier complet pour les candidats dont la lettre d’intention aura été retenue jusqu’au 14 mars à 23h55.  ...

Appel à projets de recherche - Vers des bâtiments responsables - 2024

ADEME

Cette septième édition de l'APR « Vers des bâtiments responsables » est structurée en 4 axes thématiques :sobriétérénovation des bâtimentsconsommation de ressourcesobservation, tendances et prospectiveCet appel à projet donne lieu à une sélection des dossiers déposés. Chaque projet sera évalué selon les critères suivants :la pertinence en regard des orientations de l’APR, la qualité scientifique et technique et le caractère innovant du projetla qualité et la justification du partenariat, la diversité et la complémentarité des membres du consortium et l’organisation de l’équipel’utilité, la valorisation et les retombées opérationnelles et scientifiques du projet...

Programme ATIP–Avenir 2024

Inserm

Conçu dans le cadre d’un partenariat entre l’Inserm et le CNRS, le programme Atip-Avenir permet chaque année à une vingtaine de jeunes chercheurs de constituer leur propre équipe de recherche dans les domaines des sciences de la vie et de la santé. Ce programme a déjà bénéficié à plus de 400 scientifiques prometteurs.Respectivement créés en 1990 et 2000, puis fusionnés en 2009, les programmes Atip (Action thématique incitative sur programme) de l’Institut des sciences biologiques du CNRS et Avenir de l’Inserm aident à de jeunes chercheurs à constituer une équipe autonome dans les domaines des sciences de la vie et de la santé. Ce programme vise en outre à promouvoir la mobilité des chercheurs et à attirer de jeunes talents dans les laboratoires français.ObjectifsDans le cadre d’un partenariat, l’Inserm et le CNRS lancent cet appel d’offres afin de :-   permettre à de jeunes chercheur.e.s de mettre en place et d’animer une équipe, au sein d'une structure de recherche en France affiliée à l'Inserm ou à l’Institut des sciences biologiques du CNRS. Les équipes ainsi créées auront pour vocation de renforcer le dispositif de recherche de la structure d'accueil en développant, de manière autonome, leur propre thématique.-  promouvoir la mobilité et attirer de jeunes responsables d’équipes de haut niveau.Le soutien ATIP–Avenir est d’une durée de 5 ans. Il s’adresse aux jeunes chercheur.e.s, sans restriction de nationalité, ayant obtenu leur thèse de sciences (ou un diplôme équivalent) depuis plus de 2 ans et moins de 8 ans (thèse entre le 15 septembre 2015 et le 15 septembre 2021)1. Le programme est ouvert à tout.e chercheur.e ou enseignant.e chercheur.e, quel que soit son organisme d’appartenance et à tout.e chercheur.e non permanent.e. Les bénéficiaires d’un soutien aux jeunes chercheur.e.s similaires au programme ATIP-Avenir ne sont pas éligibles (comme les financements ANR JCJC ou ERC pour développer un projet indépendant). Les lauréats ATIP-Avenir peuvent postuler à des programmes similaires à ATIP- Avenir, mais ne pourront pas cumuler les financements de ces programmes à celui d’ATIP-Avenir.  Les candidat.e.s ne devront pas avoir rejoint le laboratoire d’accueil depuis plus de 18 mois et ne  devront pas y retrouver un.e des précédent.e.s mentor.e.s2.Les candidat.e.s ne pourront pas postuler à plus de 2 appels d’offres ATIP-Avenir différents. Les projets devront s’inscrire dans l’ensemble des thématiques des sciences de la vie et de la santé. Le contrat devra débuter au cours du premier semestre 2025. Les candidatures de médecins/pharmaciens hospitaliers sont encouragées. Les projets devront répondre aux règles d’éthique de l’Inserm et du CNRS.Moyens attribuésPendant 5 ans : -  une dotation annuelle de 60 000 € ;-  un CDD de deux ans pour le recrutement d'un.e chercheur.e postdoctoral.e ou d’un ingénieur ;-  un salaire pendant cinq ans pour les lauréat.e.s non permanentsUn rapport à mi-parcours devra être fourni. Le laboratoire d’accueil devra allouer à l’équipe une surface de recherche de 50 m² au minimum (les frais d’installation seront à la charge du laboratoire d’accueil), et assurer l’accès aux plateformes technologiques du site. Les candidat.e.s peuvent soumettre leur dossier en l’absence de laboratoire d’accueil.Partenaires susceptibles de cofinancer des projets concernant leurs domaines d’évaluation :ANRS-MIE (Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales – Maladies Infectieuses Emergentes), AFM-Téléthon (Association française contre les myopathies), ARC (Fondation ARC pour la recherche sur le cancer), FINOVI (Fondation innovations en infectiologie), la Fondation Bettencourt Schueller, LNCC (Ligue nationale  contre le cancer), Stratégie décennale de lutte contre les cancers 2021-2030, Idex et I-SITE.1  Des dérogations pourront être accordées pour maternité (12 mois par enfant) ou congé de paternité et/ou service militaire, et aux cliniciens (École de l’Inserm Liliane Bettencourt …) 2  Des dérogations pourront être accordées aux candidat.e.s hospitalo-universitaires 3 Thématiques de recherches couvertes par ces jurys sur la page suivante...

Pré-annonce du 2ème appel à projets transnational 2023 du partenariat européen Clean Energy Transition

ANR

Nouveauté d'Horizon Europe, Clean Energy Transition Partnership (CETP) est une initiative transnationale de programmation conjointe de la recherche, du développement technologique et de l'innovation qui vise à stimuler et accélérer la transition énergétique, en s'appuyant sur les acteurs régionaux et nationaux de financement de la recherche et de l'innovation (agences nationales, régions...). Ce partenariat permettra à 70 agences de 30 pays, finançant des programmes de recherche et d'innovation d'aligner leurs priorités, de mettre en commun des budgets nationaux afin de lancer des appels conjoints annuels de 2022 à 2027. Pour la France, ce sont l'Agence nationale de la recherche (ANR), l'Agence de la transition écologique (ADEME) et la Région Pays de la Loire qui contribuent au CETP et qui financeront les partenaires français des projets qui seront sélectionnés dans le cadre de cet appel. Le deuxième appel du CETP sera structuré autour de 12 modules thématiques d’appel (« call modules »), émanant eux-mêmes de 7 initiatives de transition (« Transition Initiatives »/TRI) qui synthétisent les grands défis à relever pour parvenir à la transition vers une énergie propre. L’ANR, l’ADEME et la Région Pays de Loire contribuent à un certain nombre de ces « call modules », comme indiqué dans le tableau ci-dessous. Les acteurs français et ligériens lauréats ne seront financés que sur les « call modules » où l’ANR, l’ADEME et la région Pays de la Loire se sont positionnées.  Synthèse des "call modules" sur lesquels les agences françaises et la Région Pays de la Loire se positionnent ...

Actualités

La Région Pays de Loire s’associe au portail et y publiera désormais l’ensemble de ses appels à projets de recherche.

26 mai 2023

Les partenaires du portail

Si votre organisation lance des appels à projets de recherche et que vous souhaitez les publier sur le portail, nous vous invitons à compléter ce formulaire de demande.
Pour toute question, vous pouvez nous contacter via la page de contact.

ANR

L'Agence nationale de la recherche (ANR) est un établissement public à caractère administratif, placé sous la tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation. L'Agence met en œuvre le financement de la recherche sur projets, pour les opérateurs publics en coopération entre eux ou avec des entreprises.  L’ANR a été créée en 2005 pour promouvoir la recherche française sur projets, et pour stimuler l’innovation en favorisant l’émergence de projets collaboratifs pluridisciplinaires et en encourageant les collaborations « publics-privés ». Il s’agit également de renforcer le positionnement de la recherche française au niveau européen et mondial. Les missions de l’Agence, définies dans le décret du 1er août 2006 révisé le 24 mars 2014, sont :Financer et promouvoir le développement des recherches fondamentales et finalisées, l’innovation technique et le transfert de technologies ainsi que le partenariat entre le secteur public et le secteur privéMettre en œuvre la programmation arrêtée par le ministre chargé de la Recherche qui recueille l’avis des ministres exerçant la tutelle d’organismes de recherche ou d’établissements publics d’enseignement supérieurGérer de grands programmes d’investissement de l’État dans le champ de l’enseignement supérieur et de la recherche, et suivre leur mise en œuvreRenforcer les coopérations scientifiques aux plans européen et international, en articulant sa programmation avec les initiatives européennes et internationalesAnalyser l’évolution de l’offre de recherche et mesurer l’impact des financements alloués par l’Agence sur la production scientifique nationaleL’action de l’ANR vise ainsi à soutenir l’excellence de la recherche française à des degrés de maturité technologique variés, à soutenir la recherche fondamentale, à encourager les partenariats scientifiques académiques et « publics-privés », et à favoriser les coopérations européennes et internationales. Pour cela, elle propose des appels à projets compétitifs et met en œuvre des processus de sélection rigoureux basés sur l’évaluation par les pairs, qui respectent les principes internationaux en la matière : impartialité, équité de traitement, confidentialité, déontologie, intégrité scientifique, et transparence.  

Anses

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a été créée le 1er juillet 2010. L’Anses est un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle des ministères chargés de la Santé, de l'Agriculture, de l'Environnement, du Travail et de la Consommation.L’Anses assure des missions de veille, d’expertise, de recherche et de référence sur un large champ couvrant la santé humaine, la santé et le bien-être animal ainsi que la santé végétale. Elle offre une lecture transversale des questions sanitaires en évaluant les risques et les bénéfices sanitaires, souvent au prisme des sciences humaines et sociales. Ses missions de veille, de vigilance et de surveillance permettent de nourrir l'évaluation des risques. L'Agence évalue ainsi l’ensemble des risques (chimiques, biologiques, physiques...) auxquels un individu peut être exposé, volontairement ou non, à tous les âges et moments de sa vie, qu’il s’agisse d’expositions au travail, pendant ses transports, ses loisirs, ou via son alimentation.L’Anses assure par ailleurs l’évaluation de l’efficacité et des risques des médicaments vétérinaires, des produits phytopharmaceutiques, matières fertilisantes, supports de culture et de leurs adjuvants, ainsi que des biocides, afin de délivrer les autorisations de mise sur le marché. Elle réalise également l’évaluation des produits chimiques dans le cadre de la réglementation REACh.Plusieurs catégories d’acteurs peuvent saisir l'Anses :l’Etat,les parties prenantes représentées à son conseil d’administration,les syndicatsL’Agence peut par ailleurs s’autosaisir, lorsqu’elle le juge nécessaire.

INCa

Créé par la loi de santé publique du 9 août 2004, l'Institut national du cancer est l’agence d'expertise sanitaire et scientifique en cancérologie de l’État, chargée de coordonner les actions de lutte contre les cancers. Placé sous la tutelle du ministère des Solidarités et de la Santé et de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, l’Institut est constitué sous la forme d’un groupement d’intérêt public (GIP). Il rassemble en son sein l’État, les grandes associations de lutte contre les cancers, les caisses d’assurance maladie, les organismes de recherche et les fédérations hospitalières.Sa gouvernance s’appuie sur un conseil d’administration, un conseil scientifique international, un comité de déontologie et d’éthique et un comité de démocratie sanitaire intégrant les usagers du système de santé.Par sa vision intégrée de l’ensemble des dimensions sanitaire, médicale, scientifique, sociale, économique liées aux pathologies cancéreuses, l’Institut national du cancer met son action au service des personnes malades, de leurs proches, des usagers du système de santé, de la population générale, des professionnels de santé, des chercheurs et des décideurs dans les domaines de la prévention, des dépistages, des soins, et de la recherche.Plus spécifiquement, l’Institut produit une expertise pluridisciplinaire et partagée sur les questions relatives à la cancérologie : facteurs de risque, problématiques de démographie, radiothérapie, tests génétiques, évolution des organisations, impact des changements technologiques, accompagnement social… notamment grâce à l’analyse des données de santé.Il assure la définition et la diffusion des référentiels de bonnes pratiques et de prise en charge en cancérologie, ainsi que les critères d’agrément des établissements et des professionnels de santé en cancérologie.Il met en œuvre et finance des actions de recherche, sur la base d’appels à projets, pour favoriser l’émergence de l’innovation scientifique, technologique et organisationnelle.L’Institut produit une information de référence sur les cancers et la cancérologie pour nos concitoyens, les professionnels et les patients, et favorise son appropriation par les différents publics. Il développe par ailleurs des actions communes entre opérateurs publics et privés. Enfin, il participe à des programmes européens et internationaux afin de renforcer la présence de la recherche française dans ces actions.Son programme de travail s’inscrit dans les 4 axes de la stratégie décennale de lutte contre les cancers 2021 – 2030, dont il assure la mise en œuvre et le suivi en lien avec ses tutelles et l’ensemble des acteurs de la lutte contre les cancers. Dans ce cadre, il agit pour améliorer la prévention, limiter les séquelles et améliorer la qualité de vie, lutter contre les cancers de mauvais pronostic et s’assurer que les progrès bénéficient à tous.La mission de l’Institut est de faire baisser le nombre de cancers et d’en réduire l’impact dans notre société afin d’améliorer la santé de tous.

ADEME

L’ADEME EN BREF À l’ADEME - l’Agence de la transition écologique -, nous sommes résolument engagés dans la lutte contre le réchauffement climatique et la dégradation des ressources.Sur tous les fronts, nous mobilisons les citoyens, les acteurs économiques et les territoires, leur donnons les moyens de progresser vers une société économe en ressources, plus sobre en carbone, plus juste et harmonieuse.Dans tous les domaines - énergie, économie circulaire, alimentation, mobilité, qualité de l’air, adaptation au changement climatique, sols… - nous conseillons, facilitons et aidons au financement de nombreux projets, de la recherche jusqu’au partage des solutions.À tous les niveaux, nous mettons nos capacités d’expertise et de prospective au service des politiques publiques. L’ADEME est un établissement public sous la tutelle du ministère de la Transition écologique et du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. La recherche et l’innovation au cœur des missions de l’ADEME  L’activité de soutien à la RDI de l’ADEME s’inscrit dans les objectifs des politiques publiques en faveur de l’énergie et de l’environnement et notamment ceux de la transition énergétique et écologique (TEE), l’ADEME participe à la mise en œuvre les stratégies nationales de recherche (SNR et SNRE) dans ses domaines de compétences en accompagnant la recherche, le développement et l’innovation en faveur de la transition énergétique et écologique et de la lutte contre le changement climatique. L’ADEME aide ainsi des projets de RDI en matière de gestion des déchets, de préservation des sols, d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables et de qualité de l’air.  Depuis l’encadrement des thèses jusqu’à l’export des innovations de PME françaises à l’international, l’ADEME accompagne les projets de RDI dans le cadre de 4 familles d’outils : Le financement d’une cinquantaine de thèses par an dans l’objectif de défricher des sujets précurseurs, la majorité de ces thèses sont cofinancées par des entreprises ou collectivités ou des organismes publics, Son programme de recherche et développement au travers d’appels à projets de recherche (APR) compétitifs qui vise majoritairement des projets collaboratifs impliquant au moins une entreprise, notamment quand les résultats attendus sont des solutions industrialisables avec une perspective de diffusion sur le marché. Ces projets portent sur des TRL 4 à 7, ou sur des recherches prénormatives. La participation aux guichets uniques éco-innovation de certaines Régions, qui ont pour objectif de soutenir des projets d’éco-innovation portés par des entreprises ou des groupements d’entreprises, Le Programme d’Investissements d’Avenir.  www.ademe.fr@ademe

Inserm

L’Inserm réunit 15 000 chercheurs, ingénieurs, techniciens et personnels administratifs, avec un objectif commun : améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l’innovation dans les traitements et la recherche en santé publique. Améliorer la santé humaine Depuis sa création en 1964, l’Inserm a été l’acteur d’avancées médicales majeures : premiers tests de diagnostic prénatal, décryptage des mécanismes du système HLA, première fécondation in vitro, identification du virus du sida, radiothérapie contre le cancer, première greffe de peau, stimulation cérébrale profonde, thérapie génique… Cette mission s’appuie sur le travail de 9 instituts thématiques, dont le rôle est de réaliser l’état des lieux de la recherche dans leur domaine et d’animer cette recherche. Par ailleurs, les recherches sur le sida et les hépatites B et C sont conduites et financées par l’ANRS, agence autonome de l’Inserm.L’Institut se distingue par l’excellence scientifique de ses équipes, mais également par sa capacité à assurer une recherche translationnelle, du laboratoire de recherche au lit du patient.Aujourd’hui, l’Inserm est au 1er rang européen des institutions académiques de recherche dans le domaine biomédical, avec près de 12 000 publications par an, et au 2e rang mondial derrière les National Institutes of Health (NIH) intra-muros. L’Inserm est en outre le 9e organisme public de recherche les plus innovants au monde, selon le classement Thomson-Reuters 2016.Jouer un rôle majeur dans la coordination de la recherche en santé Depuis toujours, l’Inserm travaille en étroit partenariat avec l’Hôpital, l’Université et d’autres établissements publics. La plupart de ses structures de recherche sont mixtes, implantées au plus près des lieux de soin et d’enseignement. Ces partenariats sont un gage de succès, par la mutualisation des compétences, l’attractivité pour les talents et la proximité avec les patients.L’Inserm est l’un des membres fondateurs d’Aviesan, l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé, dont il assure la présidence. Coordination scientifique des thématiques de recherche, coordination opérationnelle des projets et des ressources : Aviesan favorise une meilleure réactivité et efficacité de la recherche française.Agir pour et avec la société Pionnier de l’éthiqueLes découvertes en santé et leurs applications suscitent de nombreuses questions relatives au respect du vivant et à l’éthique. L’Inserm a conduit à la création du Comité consultatif national d'éthique en 1983. Le Comité d’éthique de l’Inserm est quant à lui un acteur à part entière du dialogue entre la communauté scientifique et la société. Il apporte son soutien aux personnels de l’Institut, pour identifier et intégrer les questions d’éthique dès la conception de leurs projets.Expert en santéFace à l’évolution rapide des enjeux de santé publique, l’Inserm développe et produit depuis 1993 ses Expertises collectives. Impulsés sur saisine des pouvoirs publics ou auto-saisine, ces travaux offrent aux autorités publiques et aux élus une aide à la décision précieuse sur des problématiques sensibles : amiante, plomb, rythmes biologiques de l’enfant, handicaps...Avec et pour les maladesCréés en 2004, le Groupe de réflexion avec les associations de malades (Gram) et la mission Associations recherche & société coordonnent les programmes d’action entre l’Inserm et plus de 500 associations de malades, personnes handicapées et leur famille. Ce sont des lieux de dialogue, de réflexion et de proposition. Très actives, les associations jouent un rôle décisif dans la démocratie sanitaire et scientifique. Elles participent à l’organisation, voire au financement de la recherche.Pour en savoir plus sur l’Inserm et les associations de maladesLa diffusion des savoirsL’Inserm contribue à promouvoir les travaux et les résultats de ses chercheurs. Au niveau national ou local, il s’investit dans la culture scientifique et la diffusion des connaissances. Journées portes ouvertes dans les laboratoires, conférences, créations théâtrales et expositions : tout au long de l’année, l’Institut et ses chercheurs viennent à la rencontre des citoyens. Un musée virtuel, des ouvrages de vulgarisation, productions audiovisuelles ou encore le magazine d’actualités scientifiques Science&Santé sont autant d’outils qui assurent la diffusion d’une information de qualité vers tous les publics.Découvrir nos contenus d’information et nos événements de culture scientifique

ANRS-MIE

L’ANRS | Maladies infectieuses émergentes, créée le 1er janvier 2021, est une agence autonome de l’Inserm. Elle a pour missions l’animation, l’évaluation, la coordination et le financement de la recherche sur le VIH/sida, les hépatites virales, les infections sexuellement transmissibles, la tuberculose et les maladies infectieuses émergentes et ré-émergentes (notamment les infections respiratoires émergentes, dont la Covid-19, les fièvres hémorragiques virales, les arboviroses). L’agence couvre tous les domaines de la recherche : recherche fondamentale, clinique, en santé publique et en sciences de l’homme et de la société ; son organisation met l’accent sur l’innovation et le renforcement de partenariats internationaux.  Avec une approche One Health, s’intéressant à la santé humaine, animale et à l’impact de l’homme sur l’environnement, l’agence prépare la réponse aux enjeux scientifiques posés par les maladies émergentes et à son déploiement en temps de crise. L’ANRS | Maladies infectieuses émergentes est placée sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et du ministère des Solidarités et de la Santé. Elle est dirigée par le Pr Yazdan Yazdanapanah. L’agence fédère et anime plusieurs réseaux nationaux et internationaux de chercheurs et de médecins employés par les principaux organismes de recherche, universités, centres hospitaliers ou associations. Les associations de patients et les représentants de la société civile sont pleinement intégrés à sa gouvernance et à son fonctionnement. www.anrs.fr

Pourquoi le portail ?

appelsprojetsrecherche.fr est un portail à destination des acteurs de la recherche. Inscrit dans le cadre de la Loi de Programmation de la Recherche, il est porté aujourd’hui par six partenaires : l’ADEME, l’ANR, l’Inserm / ANRS-MIE, l’Anses et l’INCa.

Il offre ainsi un accès unifié aux appels à projets et à candidatures à venir et en cours, pour une plus grande visibilité de l’offre de financement. Après la date de clôture, les appels restent publiés encore quelques mois.

Le portail en quelques chiffres :

Les deux chiffres indiqués ici représentent :

  • le nombre de partenaires dont les appels à projets ou à candidatures sont régulièrement publiés sur le portail ;
  • le nombre d’appels à projets ou à candidatures parus depuis l’ouverture du portail.
24

Partenaires

317

Appels déjà parus