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117 résultats

ERA4Health 2026 - Comprendre et prévenir le surpoids et l'obésité (PREVENT-OO) - Mécanismes de leur apparition et de leur progression, déterminants négligés et nouvelles stratégies pour les périodes cruciales de transition de vie

ANR

Les Objectifs de l’appel à projets Les propositions de projet doivent porter sur la recherche multidisciplinaire et doivent couvrir un seul des deux thèmes suivants et aborder au moins un des deux sous-thèmes spécifiés (sous-thème 1a et/ou 1b pour le thème 1 et sous-thème 2a et/ou 2b pour le thème 2) ; les deux thèmes et sous-thèmes sont d'égale pertinence pour cet appel. Cet appel permettra une collaboration transnationale de scientifiques multidisciplinaires de différents pays pour travailler ensemble au-delà des frontières et de bénéficier des expertises et des donnés complémentaires. L’appel vise à soutenir la recherche qui : Améliore la compréhension des causes de l’obésité et du surpoids et les complications qui leur sont associées grâce à la recherche mécanistique Et plus spécifiquement : 1a. Etudie les mécanismes biologiques, y compris les mécanismes chronobiologiques, génétiques et épigénétiques, responsables de l’apparition et de la progression du surpoids et de l’obésité, ainsi que des maladies qui leur sont associées. Les facteurs secondaires avec des influences potentielles sur les mécanismes biologiques comme l’environnement de vie, le style de vie et/ou les facteurs psychologiques, doivent être considérés lors de ces études quand ils sont pertinents.1b. Etudie comment le surpoids et l’obésité contribuent au développement de complications cliniques, et/ou leurs conséquences sur l’action des traitements thérapeutiques ciblant d’autres maladies. Développe stratégies de santé publique pour la prévention du surpoids et de l’obésité liés aux différentes périodes cruciales de transition de vie, qui peuvent correspondre à un changement biologique (par exemple post-partum, ménopause, andropause etc.) ou à un changement socio-environnemental (par exemple la perte d’un emploi, le diagnostic d’une maladie chronique, le départ à la retraite, la rémission etc.) Et plus spécifiquement : 2a. Comprend et adresse les déterminants, jusqu’ici ignorés, de l’apparition et de la progression du surpoids et de l’obésité ainsi que leur interdépendance. 2b. Développe de nouveaux outils ou de nouvelles stratégies préventives pouvant être implémentés pour prévenir l’apparition et la progression du surpoids et de l’obésité. Ces outils et stratégies doivent prendre en considération le statut physiologique, pathophysiologique et psychologique des populations étudiées et/ou leur statut socio-économique. Il est important que les projets évaluent l’impact économique sur le système de santé, des outils ou stratégies proposés et que des recommandations soient proposées aux décideurs politiques pour les aider à établir des nouvelles directives et réglementations afin d’améliorer la prévention du surpoids et de l’obésité. Sont exclus : Les études cliniques de phase 3 et 4Les projets étudiant uniquement des populations âgées entre 12 et 25 ans Les propositions doivent se concentrer sur l’élargissement des connaissances et contribuer à : La réduction du fardeau du surpoids et de l’obésité en Europe grâce à une meilleure compréhension des mécanismes encore peu étudiés sous-jacents au surpoids et à l’obésité, ce qui permettra l’établissement de nouvelles stratégies préventives et de découvrir de nouvelles thérapiesChanger le paradigme du surpoids et de l'obésité de la gestion à la prévention, ce qui serait possible en améliorant la précision de la détection précoce du surpoids et de l’obésité grâce à l'identification des déterminants clés et, à terme, au développement de politiques publiques efficaces et d'initiatives de santé qui soutiennent des interventions ciblées Pays participants et organisations de financement respectives Belgium - Fund for Scientific Research-FNRS (F.R.S.-FNRS) and The Research Foundation - Flanders (FWO)Egypt - Academy of Scientific Research and Technology (ASRT)Estonia - The Estonian Research Council (ETAG)France - French Research Funding Agency (ANR)Germany - Federal Ministry of Research, Technology and Space represented by DLR Project Management Agency (BMFTR/DLR)Greece - General Secretariat for Research and Innovation (GSRI)Hungary - National Research, Development and Innovation Office (NKFIH)Israel - Ministry of Health (CSO-MOH)Italy - Ministry of Health (IT-MOH)Latvia – Latvian Council of Science (LCS)Lithuania - Research Council of Lithuania (LMT)Norway - Research Council Research (RCN)Poland - National Centre for Research and Development (NCBR)Romania - Executive Agency for Higher Education, Research, Development and Innovation Funding (UEFISCDI)Slovakia - Slovak Academy of Sciences (SAS) and Centrum vedecko technickych informacii slovenskej republiky cvtisr (SCSTI)Spain - State Research Agency (AEI), Regional Ministry of Health and Consumer Affairs of Andalusia (CSCJA), Fundación Para El Fomento En Asturias De La Investigación Científica Y Tecnología (FICYT) and Institute of Health Carlos III (ISCIII)Taïwan - National Science and Technology Council (NSTC)The Netherlands - Dutch Research Council (NWO)Türkiye - The scientific and technological research council of Türkiye (TUBITAK) La participation du Portugal - Foundation for Science and Technology (FCT) – est en attente...

Pré-annonce : appel à projets transnationaux pour de nouveaux traitements antimicrobiens et pour une meilleure adhérence aux protocoles thérapeutiques existants (OH-TREAT 2026)

ANR

Alors que la résistance aux antibiotiques serait responsable de la mort de 1.27 millions de personnes en 2019 (Murray et al., 2022) et que la résistance aux fongicides gagne du terrain, il est désormais urgent d’agir sans attendre. Sans actions de prévention efficaces, et sans nouveaux traitements, les pertes en vies humaines pourraient atteindre 10 millions de personnes en 2050. L’objectif de cet appel est donc d’améliorer les chances de guérison des patients, des animaux ou des plantes atteints d’infections bactériennes ou fongiques, en proposant de nouvelles options thérapeutiques tout en réduisant le risque de développement de résistance aux traitements existants. En particulier cet appel vise à Identifier et développer de nouvelles associations d’antimicrobiens, ou des associations d’antimicrobiens et d’adjuvants, afin d’améliorer l’efficacité des traitements et réduire le risque d’apparition de résistance.Développer des outils et des méthodes permettant d’améliorer l’adhérence des utilisateurs (patients, agriculteurs, citoyens) aux protocoles thérapeutiques recommandés.Evaluer l’impact des antimicrobiens à usage vétérinaire et agricole sur le risque de résistance aux antimicrobiens chez l’Homme et dans l’environnement, afin de guider les politiques publiques relatives à la restriction de l’usage de certains antimicrobiens. Par le biais de cet appel à projets, le partenariat OHAMR vise à soutenir des projets de recherche innovants sur la résistance aux antimicrobiens, en rapprochant des partenaires ayant une origine géographique et des expertises différentes et complémentaires. Chaque consortium doit inclure un minimum de 3 participants éligibles au financement et appartenant à 3 pays différents participants à l’appel à projets (Afrique du Sud, Autriche, Belgique, Canada, République tchèque, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Allemagne, Hongrie, Irlande, Israël, Italie, Lettonie, Lituanie, Malte, Moldavie, Pays-Bas, Norvège, Pologne, Portugal, Slovaquie, Suède, Suisse, Turquie et Royaume-Uni) dont au moins 2 pays européens ou associés. Le nombre maximum de partenaires autorisés dans un consortium (y compris les partenaires non-financés) est de 6. Le consortium peut être élargi à 7 participants si au moins un des participants est un jeune chercheur/ une jeune chercheuse, est issu d’une entreprise commerciale ou travaille dans un laboratoire situé en République Tchèque, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, à Malte, en Moldavie, Pologne ou en Slovaquie. La participation des entreprises commerciales est encouragée. La participation de partenaires non financés est possible mais limitée à 30% du budget total demandé et leur nombre doit être inférieur au nombre de partenaires demandant un financement. L'ANR financera exclusivement les partenaires français des projets sélectionnés, à hauteur de 250 000 euros maximum par partenaire (330 000 euros maximum si le partenaire est le coordinateur du projet), et le budget maximum par projet est de 450 000 euros. Le financement sera attribué pour une durée initiale de trois ans maximums. En respect avec les engagements de l’ANR, les participants s’engagent à déposer leurs publications au sein d’archives ouvertes, et à respecter le protocole de Nagoya concernant l’utilisation des ressources génétiques....

Pré-annonce : THCS 2026 – Transformation des systèmes de santé – Accès aux soins

ANR

L’objectif de cet appel est de financer des projets de recherche et d’innovation contribuant à garantir un accès équitable aux services de santé et de soins, ainsi qu’à leur utilisation. Grâce aux projets financés, les décideurs politiques et institutionnels devront acquérir les connaissances et les outils nécessaires pour mettre en œuvre la réallocation des ressources, alors que le système de santé et de soins évolue afin de relever de nouveaux défis et d’y faire face de manière durable. Sous-thème 1 : Accès universel à la santé et aux soins Les projets devront viser à améliorer l’accès à tous les niveaux de soins, y compris dans les zones éloignées, grâce à des modèles financiers innovants, des modèles de prestation de services et des programmes intégrés et interdisciplinaires. Ils devront s’attaquer aux disparités liées au statut socio-économique, à la localisation géographique, à l’origine ethnique ou culturelle, au genre, à la littératie et à la langue, ainsi qu’aux limites des infrastructures et des effectifs. Les actions pourront inclure le renforcement de la littératie en santé, la conception de parcours de soins numériques inclusifs et une meilleure répartition géographique des services, notamment de soins de longue durée. Sous-thème 2 : Réduction des inégalités dans l’utilisation des services de santé et de soins Ce sous-thème aborde les déséquilibres d’utilisation des services – sous-utilisation et surutilisation – qui entraînent des inefficacités et des soins de faible valeur. Les groupes vulnérables sous-utilisent souvent les services en raison d’une faible littératie en santé, de systèmes complexes et de difficultés de communication, tandis que la surutilisation gaspille les ressources et nuit à la qualité des soins. Les projets devront développer des stratégies favorisant une utilisation appropriée et équitable des services, en améliorant la littératie en santé et numérique, en réduisant les barrières financières et en traitant les inégalités de genre et culturelles. La co-construction avec les populations défavorisées est encouragée. Conditions générales pour participer Seuls les projets transnationaux seront financés. Les conditions suivantes devront s’appliquer pour la composition des consortia : durée des projets : de 12 à 36 mois (pour les déposants demandant une aide auprès de l'ANR, la durée maximum du financement est de 24 mois) ;les projets de recherche peuvent être déposées par des participants appartenant à l’une des catégories suivantes (l’éligibilité des partenaires peut varier selon les règles nationales/régionales) : A. Recherche académique – les équipes de recherche travaillant dans des universités, d'autres établissements d'enseignement supérieur ou des instituts de recherche ;B. Clinique/secteur de la santé publique - les équipes de recherche travaillant dans les hôpitaux/la santé publique et/ou dans d'autres établissements de soins de santé et organismes de santé ;C. Entreprise - des entreprises privées de toutes tailles ;D. Intervenants opérationnels – e.g. les organisations de défense des patients, les municipalités et les gouvernements locaux, les ONG locales/nationales. Conformément au concept de RRI, les parties prenantes opérationnelles doivent être en mesure de fournir des connaissances utiles au consortium, de veiller à ce que la recherche du consortium soit utile et transposable dans leur contexte organisationnel (ou dans d'autres), et/ou d'influencer la prise de décision ou de créer des changements au sein de leur organisation. Les parties prenantes opérationnelles doivent être impliquées dans le processus de recherche, depuis la conception de l'étude jusqu'à sa diffusion ;minimum de trois (3) partenaires éligibles demandant un financement provenant d’au moins un (1) État-Membre de l’UE et d’au moins deux (2) autres entités juridiques indépendantes, chacune établie dans des États-Membres ou pays associés différents dont les organisations de financement participent à l’appel. Chacun de ces partenaires doit être éligible et demander un financement auprès de l’organisme de financement concerné. Les trois entités juridiques doivent être indépendantes les unes des autres ;  maximum de neuf (9) partenaires éligibles (à l’exclusion des collaborateurs) ; maximum autorisé de deux (2) partenaires éligibles d’un même pays ;maximum de deux (2) collaborateurs par consortium. Les collaborateurs sont des partenaires sur fonds propres : il s’agit des partenaires qui ne demandent pas de financement auprès d’une organisation de financement dans le cadre de l’appel (partenaire issu d’un pays non financé ou ne pouvant être financé selon les règles nationales/régionales des organisations de financement participant à l’appel). L'ANR financera exclusivement les partenaires français (hors établissements de santé) des projets sélectionnés, à hauteur de 250 000€ maximum par partenaire (275 000€ maximum si le partenaire est le coordinateur du projet). La Direction générale de l’offre de soins (DGOS) du ministère de la Santé et de la Prévention, participant également à cet appel, soutiendra les établissements de santé, les groupements de coopération sanitaire, les maisons de santé ou encore les centres de santé. La sélection des projets se déroulera en deux (2) étapes : étape 1 – pré-proposition et étape 2 – proposition détaillée. Un seul document par étape sera déposé par le consortium d'un projet transnational. Les propositions détaillées ne seront acceptées que de la part des candidats explicitement invités par le secrétariat de l’appel à participer à l’étape 2. Les propositions doivent être complétées sur le site de dépôt de l’appel (aucune proposition déposée directement à l’ANR ne sera éligible). En parallèle de la soumission centrale sur le site THCS, il est demandé aux déposants demandant une aide auprès de l’ANR de renseigner des informations administratives et financières en se connectant au Système d’Information Métier. Les pré-propositions et propositions détaillées doivent être rédigées en anglais. Veuillez noter que les organismes de financement nationaux/régionaux peuvent exiger des documents supplémentaires de la part des candidats, conformément aux réglementations nationales/régionales. Il est de la responsabilité de chaque partenaire de projet de s'assurer que tous les documents nécessaires sont déposés à temps. Liste des pays  Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Estonie, France, Islande, Irlande, Israël, Italie, Lettonie, Lituanie, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Suède, Suisse....

Pré-annonce : Second appel à projets du partenariat européen FutureFoodS

ANR

Les informations présentées ici à titre provisoire peuvent être modifiés avant l'ouverture de l'appel. De plus amples informations seront disponibles à l'adresse suivante : www.futurefoodspartnership.eu FutureFoodS est un partenariat cofinancé dans le cadre d’Horizon Europe, réunissant 83 partenaires originaires de 29 pays différents, ayant pour objectif de favoriser les transitions verte et numérique, en mettant l'accent sur les aliments (post-récolte). Il contribue ainsi au Pacte Vert européen, aux Objectifs du Développement Durable des Nations unies et à la stratégie « De la ferme à la fourchette ». La Commission Européenne a identifié un besoin urgent de rendre nos systèmes alimentaires pérennes et résilients. Ce besoin est dû aux divers impacts auxquels nos systèmes alimentaires sont confrontés, tels que ceux liés au changement climatique, à la dégradation des sols, à la perte de biodiversité, à la faim, à la malnutrition, aux maladies liées au régime alimentaire, aux déchets alimentaires et d'emballage, à la sécurité, à la rareté de l'eau douce et des ressources (renouvelables), aux inégalités sociales et économiques, aux tensions politiques, et à la nécessité de sauvegarder notre patrimoine culturel alimentaire. La vision du partenariat FutureFoodS est de parvenir collectivement à des systèmes alimentaires respectueux de l'environnement, socialement sûrs et équitables, économiquement viables, sains et sûrs en Europe d'ici 2050. L'ambition du partenariat FutureFoodS est de s’attaquer aux défis complexes qui rendent les systèmes alimentaires européens actuels non durables, en mobilisant les connaissances, les acteurs et les ressources par le biais d'une approche systémique de l’alimentation. Les systèmes alimentaires englobent tous les éléments (environnement, personnes, intrants, processus, infrastructures, institutions et relations de pouvoir, marchés et commerce) et activités liées à la production, à la transformation, à la distribution et à la commercialisation, à la préparation et à la consommation de denrées alimentaires. Une approche systémique reconnaît les interactions entre les ressources naturelles et les services écosystémiques, la production alimentaire primaire, la transformation des aliments, le conditionnement, la logistique, la commercialisation, le commerce de détail, les services alimentaires, la consommation alimentaire et la gestion/recyclage des déchets, ainsi que les nombreuses boucles de rétroaction entre ces éléments, qui définissent ensemble le degré de complexité. Une telle approche est importante car elle propose une vision holistique lorsqu'il s'agit d'aborder des problèmes complexes, en reconnaissant les dépendances durables entre les acteurs des systèmes alimentaires, ainsi qu'en identifiant les moteurs et les points d'appui au sein des systèmes. La communauté européenne de recherche et innovation (R&I) sur les systèmes alimentaires a un rôle important à jouer dans la promotion de la conception et de la mise en œuvre d'une approche des systèmes alimentaires impliquant les acteurs concernés. Les propositions soumises dans le cadre de cet appel à projets doivent clairement délimiter et caractériser le système alimentaire étudié : Quels sont ses principaux acteurs ? Quelles sont les principales dépendances au sein du système ? Quels sont les leviers susceptibles d'améliorer la durabilité du système ? Comment le système étudié est-il relié à d'autres systèmes alimentaires ? Les éléments directeurs des projets FutureFoodS sont les suivants : Perspective transformatriceInterdisciplinarité et transdisciplinaritéEngagement multipartiteDurabilité Les propositions doivent fournir un plan d'impact pour la transformation des systèmes alimentaires. Plus d'informations et de conseils seront donnés lors de l’ouverture de l'appel. Dans son agenda stratégique de recherche et d'innovation, FutureFoodS a identifié quatre domaines de R&I pour lesquels de meilleures connaissances, un savoir-faire plus avancé et des solutions plus évolutives et innovantes peuvent être déterminants pour réaliser les transformations des systèmes alimentaires : « Changer la façon dont nous mangeons », « Changer la façon dont nous transformons et fournissons les denrées alimentaires »,« Changer la façon dont nous nous connectons aux systèmes alimentaires » et « Changer la façon dont nous gouvernons les systèmes alimentaires ». L'objectif de cet appel est de financer des projets transnationaux de recherche et/ou d'innovation portant sur l'un des thèmes suivants. Chaque thème de l'appel rassemble plusieurs des questions hautement prioritaires identifiées par le partenariat et présentées ci-dessus. Cet appel est ouvert aux propositions portant sur l'un des thèmes de recherche décrits ci-dessous. Thème 1 : Pratiques alimentaires domestiques favorisant une alimentation durable et saine Thème 2 : Vers des systèmes de transformation alimentaire diversifiés, durables et circulaires Thème 3 : Confiance et transparence dans les systèmes alimentaires durables Veuillez noter que le champ de la production primaire est exclu de ce partenariat, c'est-à-dire la culture de denrées alimentaires, la production agricole et d'autres aspects spécifiques qui y sont liés. Les potentiels pays participants à cet appel sont : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Irlande, Islande, Italie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Suède et Turquie....

Pré-annonce du second appel à projets transnational appel : "Long-term Joint Europe-Africa Research and Innovation Projects on Sustainable Energy" (LEAP-SE)

ANR

LEAP-SE est un programme de 6 ans mené par un consortium d’une vingtaine de partenaires de pays africains et européens, co-financé par la CE dans le cadre d’Horizon Europe. Ce partenariat a été construit sur les réalisations de programmes antérieurs tels que le programme LEAP-RE. LEAP-SE vise à développer un partenariat à long terme entre l’Afrique et l’Europe dans le domaine de la recherche et de l’innovation sur les énergies durables et les technologies de l’hydrogène. Il s’inscrit dans le cadre du partenariat sur le changement climatique et l’énergie durable (CCSE) du dialogue politique de haut niveau Union Africaine - Union Européenne sur la science, la technologie et l’innovation. L’appel conjoint LEAP-SE 2026 peut financer des projets de recherche fondamentale, de recherche industrielle/appliquée et de développement expérimental (couvrant toutes les étapes de l’innovation) d’une durée de 12 à 36 mois. Les thématiques de l’appel à projet LEAP-SE couvriront les 7 stratégies multi-annuelles (MAR) identifiées ci-dessous : Evaluation des potentiels de développement des énergies renouvelables et intégration des énergies renouvelables dans les scenarios énergétiquesFin de vie et seconde vie des technologies, réduction de l’impact environnemental des composants des énergies renouvelablesSystèmes solaires autonomes (Smart Solar Home System)Smart-grids (à différentes échelles) pour les applications hors réseauProcédés et équipements pour les usages productifs des énergies durablesSolutions innovantes pour les usages domestiques prioritaires (cuisson propre et chaîne de froid)Production et utilisation d’hydrogène vert Modalités Les projets financés dans le cadre de cet appel à projets devront correspondre à des coopérations transnationales comportant au moins quatre partenaires de quatre pays différents (deux en Europe et deux en Afrique). De plus, chaque consortium devra comprendre au moins une entreprise et un partenaire académique. L’ANR, financera des projets de recherche fondamentale, de recherche industrielle/appliquée et de développement expérimental de TRL 2 à 6 dans les domaines des MAR 1,2,3,4,5,6 et 7 (toutes). Pays participants Afrique: Algérie, Cameroun (à confirmer), Côte d’Ivoire (à confirmer), Égypte, Kenya (à confirmer), Maroc, Namibie (à confirmer), Sénégal, Afrique du Sud, TunisieEurope et pays associés à Horizon Europe: Allemagne, Autriche, Belgique, France, Italie, Pologne, Roumanie (à confirmer), Slovénie, Royaume-Uni (à confirmer), Turquie Liste sujette à mise à jour....

Pré-annonce : ERDERA 2026 - Résoudre des cas non résolus dans des maladies génétiques et non génétiques rares grâce à la validation des variants et à de nouvelles approches technologiques

ANR

L’objectif de cet appel est de résoudre les maladies génétiques rares non diagnostiquées ainsi que les maladies rares non génétiques complexes et multifactorielles en identifiant les variants responsables chez des patients sans diagnostic moléculaire malgré des tests génétiques ou géniques antérieurs ou en clarifiant le diagnostic de pathologies d’origine inconnue ou mixte. Domaines d’investigation suggérés : Validation fonctionnelle pour la classification de variants candidats de signification incertaine et l’augmentation de la diversité de la recherche génomique fonctionnelle, ou la validation de ces variants pour améliorer les résultats pour un plus large éventail de patients, en explorant des systèmes in silico, in vitro ou des modèles animaux (par exemple, des cellules modifiées par CRISPR, des cellules souches pluripotentes induites, des organoïdes, etc.) ;Utilisation de l’approche multi-omique ou de méthodes intégratives (par exemple, transcriptomique, épigénomique, etc.) pour résoudre des variants ambigus ou complexes ;Nouveaux outils/méthodologies pas encore validés en clinique comprenant des approches biostatistiques, de bio-informatique avancée et mathématiques (par exemple, des prédicteurs des effets des variants, des plateformes d'annotation basées sur l'intelligence artificielle (IA), etc.) non encore validés dans des contextes cliniques.Biologie des systèmes et modélisation des mécanismes de la maladie ; Explorer les méthodes d'intégration des données cliniques, environnementales, de mode de vie et issues de capteurs dans le contexte des maladies rares ; Développement de graphes de connaissance ou de cartes de maladies pour lier les phénotypes et mécanismes ; Utilisation d'outils avancés d'IA et de modélisation (ML de graphes, modèles causaux probabilistes)....